Les conséquences philosophiques (voire métaphysiques) de la position défendu dans mon premier article, ainsi les problèmes philosophiques posés par la notion de ‘vitesse instantanée’ dans le cadre de la physique classique seront examinés, et une solution sera proposée.
Une première version de cet article, intitulée “In Defense of the Unavoidable Existence of States of Motion”, a déjà été soumis aux éditeurs du journal Philosophy of Science : il a été refusé pour des raisons plutôt bien justifiées, et surtout les reviewers ont fait des critiques bien constructives. De ce fait, la structure argumentative de cette seconde version a été profondément modifiée.
La seconde version (dont le titre était “Why Classical Mechanics Needs the Existence of States of Motion in Order to Be Fully Consistent”) a alors été soumis au journal Synthese : les reviewers ont à nouveau fait des critiques plutôt bien constructives, mais la principale reproche étant qu’il ne s’agit pas d’un assez ‘hot topic’ pour être publié dans ce journal-ci. Le fond de mon propos n’a été critiqué que sur quelques points de détails. Une troisième version (avec à nouveau un changement de titre) est donc en cours de préparation…
Source de l’image d’illustration : http://res-nlp.univ-lemans.fr/NLP_C_M01_G01/co/Contenu%2031.html